coaching professionnel

Paul subissait sa situation professionnelle, et même sa situation personnelle. Il avait la sensation d’être incapable de faire des choix, d’initier quelque chose et de passer à l’action.

A la fin du coaching, il était plus à l’aise pour communiquer au quotidien avec ses collègues, et même avec sa compagne.

Il avait compris ce dont il avait envie et il était serein avec ça. Il commençait à mettre en place les premières étapes vers cette envie et il retrouvait le plaisir.

Paul avait retrouvé confiance en lui et savait exprimer ses envies et ses besoins, et défendre ses intérêts.

Dire “non” n’était plus un problème pour lui, il ne disait plus “oui, si tu veux” par défaut.

Pour tous ses proches et ses collègues, Alice était la dernière personne à avoir des problèmes de confiance en soi.

Pourtant, elle avait envie de développer son réseau pour obtenir plus d’opportunités de carrière et de projets, mais elle n’avait aucune idée de la manière dont elle pouvait s’y prendre et n’osait pas.

Pour elle, se mettre en avant revenait à se mettre en danger et à être prétentieuse.

A la fin de notre coaching, elle avait compris qu’elle avait de nombreuses forces que d’autres n’avaient pas et elle n’avait plus peur de communiquer sur LinkedIn ou de se mettre en avant pendant les réunions ou auprès de son manager.

Quand je l’ai rencontrée, Sarah n’éprouvait plus de plaisir dans son travail et voyait l’avenir dans son poste de manière très sombre.

Pourtant, au début, son poste la faisait vibrer. Elle se nourrissait de l’aventure collective qu’elle venait d’intégrer.

Aujourd’hui, elle avait fait les frais d’un manager toxique et de guerres de chapelles. Elle ne trouvait plus de sens à ce qu’elle faisait.

En sortant du coaching, elle avait renoué avec sa passion du début. Elle avait décidé de se concentrer sur les causes qui lui importait et elle savait que ce poste n’était qu’un outil au service de son ambition plus grande et plus humaniste.

En retrouvant du sens, elle se détachait des intérêts individuels et des conflits interpersonnels pour se concentrer sur ce qui lui importait : sa mission.

A notre rencontre, Julien me disait vivre un contraste difficile entre qui il était et la manière dont il était perçu au travail par ses collègues.

Pourtant hypersensible, il était perçu comme quelqu’un de froid et détaché.

Il avait également des difficultés à s’exprimer, à donner son opinion et à défendre l’intérêt de son équipe.

En sortant du coaching, il s’autorisait à être authentique avec ses collègues.

Il avait compris quelles protections il mettait en place sans le vouloir et qui l’empêchait d’être lui-même et de s’exprimer.

Il était désormais en capacité d’échanger sur ses besoins et de collaborer dans l’authenticité et le respect de chacun.

Quand j’ai rencontré le président de l’Asso, il était dépité et par monts et par vaux. Il me faisait part des dissensions au sein de son équipe, du désengagement de ses membres du bureau et de la menace du burn out pour ses salarié·es.

J’ai organisé des entretiens avec plusieurs membres pour avoir une vision plus globale des problématiques à l’œuvre, puis nous avons organisé un séminaire d’équipe.

Au cours de ces deux jours, je leur ai proposé plusieurs exercices qui ont pu les surprendre, mais qui leur ont permis de se poser des questions communes, de renouer autour de ce qui les avait réunis au départ, de définir un cadre commun, des règles de mieux vivre ensemble.

La cohésion était revenue. Nous avons ensuite pu travailler sur leur avenir en établissant un cap commun et un plan d’action dans lequel chacun faisait sa part, et non plus seulement les salarié·es.

Au sortir du séminaire, la joie, les remerciements et la motivation des participants m’ont confirmé à quel point ils faisaient à nouveau équipe, avec un bel itinéraire devant eux.